Il 25 aprile #bellaciaoinognicasa
alle ore 15. È il flashmob lanciato in occasione dell'anniversario
della Liberazione dalla presidenza e dalla segreteria nazionale dell'Anpi
tramite un appello in cui si richiede l'adesione alle associazioni, ai
sindacati, ai partiti, ai movimenti che si riconoscono nei valori della
Resistenza, della democrazia e della Costituzione. L'orario non è stato
scelto a caso: ogni anno, infatti, a Milano proprio alle 15 parte il
grande corteo nazionale, che quest'anno non si potrà tenere a causa
dell'emergenza coronavirus.
In sostituzione, l'Associazione nazionale partigiani propone di
intonare da ogni balcone e finestra il canto della Resistenza famoso in
tutto il mondo: 'Bella ciao'.
l'article sur repubblica.it
samedi 25 avril 2020
lundi 13 avril 2020
À nos morts (Ai nostri morti 2 - cronache da Parigi in tempo di virus V)
Vous nous avez quittés,
Pense-t-on.
Vous êtes partis au loin, au fond de la terre ou dans le ciel,
C’est selon.
L’empreinte de vos pas est encore là,
Visible, à vif.
Que d’espoir, que de passions dans vos vies tumultueuses,
Vous nous avez enseignés la beauté et la force,
La violence et la grâce.
Une longue chaine de rires et de larmes,
La conscience de la justice.
Vous avez vaincu l’infamie,
Vous avez brisé nos chaines,
Vous avez bâti l’impossible.
La longue trace de vos gestes et de votre combat nous berce au jour le jour,
Sans vous.
Que serions-nous
Sans vous ?
Que seront ceux qui nous succèderons. ?
Quelle empreinte de vos membres vibrants ? L’écho de vos cris et de
vos chants de lutte.
Mais rien ne se perd et tout se
transforme.
Ton cri a déchiré la nuit et sa longue traine ne s’éteindra jamais…
Poussière d’étoiles dans le ciel,
Notre mémoire vivante, nos poings levés, vos fleurs au fusil,
Votre grâce enragée…
Ludmila Acone©, aprile 2020.
jeudi 2 avril 2020
En mémoire de Mariarca Terracciano
Il y a dix ans, à Naples, Mariarca Terracciano, infirmière et syndicaliste
alertait, au péril de sa vie, sur l’état de l’hôpital public dans sa région et dans
toute l’Italie. Mariarca décidait de faire la grève de la faim et du sang pour
obtenir que son salaire et celui de ses collègues soit enfin payé, Mariarca est morte le 13 mai
2010.
C’est pour qu’elle ne soit pas oubliée que naissait une exploration
sur le mythe du sang dans certains rituels napolitains, en particulier de celui
de la Maria dell’arco, qui a été développée dans :
"Le corps, lieu de mémoire ?", Synergie Europe n°11, 2016.
"Le corps, lieu de mémoire ?", Synergie Europe n°11, 2016.
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