par Ludmila Acone
Chroniques italiennes, Numéro 30 (2/2015)
Pour le maître à danser Guillaume le Juif (ou Guglielmo Ebreo da Pesaro) et pour Marsile Ficin, la musique et la danse, plus que de simples divertissements, sont un véritable moyen d’atteindre l’harmonie du corps et de l’âme. Rapprocher ces deux auteurs pratiquement contemporains nous permet d'analyser comment, à partir d'une culture commune et de leur propre expérience, ils parviennent à une même conclusion : la musique et la danse possèdent des vertus capables de guérir les corps souffrants et les esprits inquiets ; véritables remèdes, ces arts permettent même de transformer les hommes et de les placer au sein d’un monde vertueux et harmonieux.
Chroniques italiennes, Numéro 30 (2/2015)
Pour le maître à danser Guillaume le Juif (ou Guglielmo Ebreo da Pesaro) et pour Marsile Ficin, la musique et la danse, plus que de simples divertissements, sont un véritable moyen d’atteindre l’harmonie du corps et de l’âme. Rapprocher ces deux auteurs pratiquement contemporains nous permet d'analyser comment, à partir d'une culture commune et de leur propre expérience, ils parviennent à une même conclusion : la musique et la danse possèdent des vertus capables de guérir les corps souffrants et les esprits inquiets ; véritables remèdes, ces arts permettent même de transformer les hommes et de les placer au sein d’un monde vertueux et harmonieux.
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